Michel Vialtelle est né en 1955, à Gannat, petite commune au sud de l’Allier où il a passé toute son enfance. De cette période il garde des souvenirs heureux dans la ferme familiale. « Mes parents travaillaient dur mais m’ont donné tant d’amour que j’ai connu des années d’insouciance rythmées par les saisons et en contact direct avec la nature. Lorsque j’arrivais à arracher mon frère de ses livres, nous partions vers des aventures où tout était prétexte à la création. Nous construisions des cabanes et inventions des histoires pour varier nos jeux dans le décor familier de la ferme, des champs et bien au-delà grâce à notre imagination. »
En 1978 il épouse Catherine Léger. Ils ont deux enfants et quatre petits-enfants et résident actuellement à Bressolles dans l’Allier, près de Moulins.
Après une scolarité à l’école primaire puis au collège de Gannat et par la suite au lycée de Cusset, il poursuit ses études à Égletons en Corrèze où il acquiert une formation dans le domaine du bâtiment et des travaux publics. Toute sa vie professionnelle est en lien avec la construction.
Maintenant à la retraite, il consacre une partie de son temps libre à l’écriture. Ce n’est pas un simple passe-temps mais bien une passion qui lui permet de retrouver les rêves de sa jeunesse. Partir pour une nouvelle aventure, c’est toujours quelque chose d’excitant. Est-ce la peur de l’inconnu, l’exaltation du voyage vers des contrées à découvrir ? Peut-être un peu des deux.
Violente renaissance est son premier roman publié en 2010.
« Pendant plusieurs années, j’ai goûté au plaisir de la poésie et, poursuivant sur les chemins de l’écriture, je me suis laissé emporter par les personnages de mon premier roman. Écrire, c’est pour moi vivre un rêve qui naît au fil des mots et qui devient réalité quand j’avance dans le récit. C’est avant tout un plaisir. Lorsque j’ai débuté cette histoire, je n’avais aucun but précis, je ne pensais pas le publier. Je n’avais même pas la certitude de le terminer et puis lorsqu’il a pris forme j’ai décidé de le faire partager. J’espère qu’il apportera autant de plaisir à ceux qui le liront que j’en ai eu à l’écrire.
Mon deuxième roman Même la chance est utile commencé après une visite du Scriptorial à Avranches m’a permis d’imaginer une histoire dont l’origine est une énigme qui va pousser celui qui s’est reconnu dans une enluminure ancienne à comprendre comment le personnage représenté pouvait autant lui ressembler. Il n’a pas deviné que ce serait pour lui le départ d’une tout autre aventure que j’offre à chaque lecteur. »